WillHO3

Bon, c'est bon : ça ne sert plus à rien de pourrir le post, on est rentrés !

Slow d'enfer = Knocking on heaven's door = bob dylan = Triumph Tiger T100 bonneville = T110 obtient le reccord du monde en 1956. Bon, je penses m’être bien planté, mais comme je ne te vois pas sur une indian, je tente quand même le coup...

Une bien belle balade en effet... A part cet écart par St Laurent que je ne comprends pas ; vous avez du vous régaler !

un hotel ? une guzzi ?

Bonne bécane !

Pouaa.... Une R1200R sans télélever, c'est une nineT ! Tant pis, ils continueront à vendre des trails !

J'aurais adoré voir ça, la curiosité me ronge, mais pour le 12 hélas, c'est mort pour moi ! Laisse moi ma chance de deviner : ne freine pas, ne tient pas la route,... Une suz ?? Bon, sans rire, est-elle au moins siglée GS ?

Effectivement. Pas encore de date définie.

Pas encore de date définies.

Et ouvrir un compte sur un forum de vieux GS ? Nan mais ca va pas ? T'ai-je un seul instant donné l'impression que j'assumais l'image que renvoi ma machine ? Bon, plus serieusement, je crois que j'ai un compte chez eux, mais je ne trouve plus mes id. De toute façon, je penses avoir écumé suffisamment de forum sur le sujet. C'est clair que ce n'est pas une balade des plus économique. Déjà la vie là-bas est très cher, et c'est encore plus vrai sur la route touristique reliant les plus beaux spots de Norvège (donc incontournable donc péages à gogo). Merci quand même pour le tuyau.

Il y a tellement de contraintes sur une telle expédition qu'il est déjà difficile de partir à 2. - deux ans d'organisation et de préparation (tentes, duvets, bagageries, GPS, cartes, roads, motos...), - un budget de plus de 1500€ en tirant au plus serré, - une moto révisée spécialement pour l'occasion avec des pneus capable de supporter les 11000kms, - 23 jours de route et congés à synchroniser avec période Juillet imposé par le climat... Tout ça pour y trouver la pluie 2 jours sur 3, des températures acceptable le jour (20°), fraîche la nuit sauf que la nuit ne durera plus que quelques heures passé un certain tropique... Bref, du grand bonheur pour moi, l'aventure de ma vie...

Tkt, je vous ferais un CR de malade

NORDKAPP 2016...

Ceci dit, on attends toujours les photos de BenJen Starkhiouz ...

Non, il ne faut pas tomber dans les virages ! Pas meme bien !

Bienvenue Lili28061984à11h45PrèsDeClermont. J'espère que tu vas te régaler parmi nous ! A bientôt, ou bientard, car il n'est jamais trop tard pour bien faire, et vieux motard que jamais !

Vous avez réussi a choper une cannette de DD ?

Levés de bonne heure, l’air est plutôt frais. Et c’est avec les vaches que nous rejoignons le premier gîte. Petit déjeuner vite expédié, et en 2/2 la place est nickel. Tout le monde est chaud bouillant, il faut dire que je l’ai bien vendue ma petite route dans les gorges de l’Allier. Toute petite j’aurais dû dire, et sinuant sportivement au fond de larges gorges boisées sur un revêtement aléatoire et bouseux. C’est joli, c’est rigolo, c’est bien aussi quand ça s’arrête (je devinais le prof me maudire à chaque cahot). Pause-café à Saugues ; nous sommes au cœur du territoire de la bête et ça se constate à chaque coin de rue, nos photographes ne s’y trompent pas. - « Déjà midi ? » Largement temps de repartir… Les routes sont variées, belles mais invitent généralement à la prudence. - « Pourquoi vous râlez ? Vous m’aviez demandé quelque chose de dépaysant ? Je vous y amène moi chez des paysans ! (Mais après faut pas rouméguer de vous faire tartiner des bouses que projette copieusement mon pneu arrière !) » Le thème de la matinée est largement dédié à la bête ; alors nous en joignons les clichés, stèles, lieux y référents. Au pied de la saugne d’Auvers, où la bête aurait finalement péri. Au Malzieu pour y découvrir différentes interprétations. A Aumont, à la frontière de ses terres mais où elle trône encore en bonne place au centre du village. Nous y prendrons notre déjeuner ; derniers instants partagés, déjà la fatigue qui se lit sur les visages. Le rythme se ralentit pour un dernier effort jusque Marvejols où nous prendrons le café toujours sous les yeux de la bête. Simples au revoir car à partir de là, chacun se sépare pour rejoindre son foyer. En conclusion, quelques adjectifs pour décrire mon week-end : - Evasion. Des paysages magnifiques et dépaysants donnant une atmosphère estivale hors du temps. Autant de plaisir dans le guidon que dans les yeux. - Un groupe uni, agréable, et engagé ou chacun s’est investi. Une vraie camaraderie qui fait plaisir à voir et à partager. Une complicité dans tout le groupe alors que certains ne se connaissaient même pas la veille. - Fatigués, mais heureux car chaque détour méritait son surcroit d’énergie. Le week-end fut bien rempli, et pour un week-end moto, chacun a bien profité aussi de sa machine. Bref, je remercie tout le monde pour la réussite de cette sortie. Vous me manquez déjà !

Je trouve enfin quelques minutes pour vous raconter ma vision de ce week-end plein de rebondissement dans le Gévaudan. Commençons dès le vendredi, hécatombe, il semble flotter une malédiction sur cette sortie. Déjà, les inondations le week-end précèdent, ensuite un couple qui a dû nous abandonner en début de semaine, et maintenant, c’est le Prof qui, fiévreux, m’expose son incertitude quant à sa capacité à prendre le guidon. Ni une ni deux, m’en vais lui botter le cul sur ses terres. Ensuite, vers 23h, c’est Mimi de MimiVince qui m’annonce un pneu complètement à plat… Elle est pleine d’espoir ; m’est d’avis que c’est plutôt mal barré pour eux ! Samedi matin, jour du départ. Comme prévu, pas un nuage dans le ciel. Juste le temps de se préparer, charger les motos, et c’est parti pour le point de rdv !! … Sauf que non. La moto de Marion en décide autrement : plus de batterie. 4 aller/retours en poussette, au bord de l’abandon, nous parvenons (non sans s’y mettre à 3) à faire pétarader le moulin. Nous arrivons finalement presque à l’heure au rendez-vous. Soulagement en apercevant le prof, et en pleine paluchade : nouvel appel de MimiVince. Ils se font balader depuis l’aurore de garage en garage dans l’espoir de trouver un boudin, et miracle après 3 traversées de Montpellier, un lève-tôt de chez Ducati accepte de prendre en charge la moto avant l’ouverture. Décidément, ils ne lâchent rien les petits nouveaux ! Bref, départ précipité dans l’espoir illusoire de rattraper le retard. Récupération de 2 colis (je n’ai pas dit boulets) à Ganges, et enfin le week-end prend une autre tournure dans l’ascension de l’Espérou par Valleraugue ! Quel bonheur ! Première pause au sommet, déjà les discussions timides du matin laissent place à de belles bananes ! Café, pipi, pas le temps, nous repartons aussi vite que nous arrivions. Prochaine étape : Pont-de-Monvert et plus aucune pause tolérable ! Mais en fait : si… Une course cycliste et les routes se referment sur nous. Nous somme à Cocurès dans les gorges du Tarn, à 10 minutes de l’étape, alors que l’autre groupe jouit d’une position plus confortable à Florac. Bloqués, nous décidons d’en profiter ; et c’est dans des transats les pieds dans l’herbe que nous mangeons et encourageons le peloton. 14h30, brève jonction des groupes, certains changent de bord et nous repartons de plus belle vers la prochaine étape : le mont Lozère. Quel plaisir ! Le paysage est magnifique, les routes agréables sauf pour le prof qui maudit mes routes à chèvre. Qu’à cela ne tienne, je lui sors ma botte secrète : la D901, qui entre Cubières et Villefort fait le bonheur des motards locaux. Le voilà requinqué pour de bon. Première vrai pause de la journée, entre la Garde et le Chassezac, les groupes se réunissent enfin, et pas le temps de déplorer la perte d’une partie du groupe qu’ils nous rejoignent déjà. Chacun échange déjà sur ces paysages nouveaux, on est ensemble, tout va bien. Dernier arrêt à Langogne, et enfin de l’essence pour tous ceux qui n’y croyaient plus. J’avais bien dit que personne ne serait en rade ! Bon, peu peuvent se vanter à ce moment-là de ne pas avoir le voyant réserve allumé ! Quelques courses et direction le Gite où nous attend le traiteur pour la livraison. D’ailleurs, une adresse à retenir absolument : la boucherie Mejean de Costaros ; un commerçant en or et de super produits pour un prix très raisonnable ! Si la soirée peut sembler un joyeux bordel sur les photos, il n’en était rien. Chacun a trouvé à s’occuper ; et grand merci aux cuistots : tout le monde s’est régalé ! Alain était partout, Fred aussi d’ailleurs ! Finissant de raconter ses cagades, chacun regagne petit à petit sa chambre ; ou plutôt son lit avec en têtes des rêves de bête qui rôde (promo sur le circonflexe). […]

Registrée ? Bufferisée ? ECC ? Double canal ?

P'taing ! Navré pour toi petitloup ! Clair que c'est un coup dur. Profites en quand même pour nous faire un petit retour d’expérience, dès fois que ça puisse servir à d’autres. L'avais tu attachée ? Dans un garage ? U, chaîne ou bloque disque ? Norme FFMC ? A l'heure où l'anti-démarrage se démocratise, ceux qui n'en disposent pas deviennent des cibles privilégiées. Je me souviendrais toujours de cet article où un journaliste testait la nouvelle triumph ; et alors qu'il déplorait l'acharnement de la marque à ne pas doter leurs nouvelles motos de ce système ; il se faisait chourer la moto de démo à la terrasse d'un café ! Il avait tourné cela en dérision prétextant un manque "avéré". J'espère te revoir rapidement ; mieux encore, le cul sur une moto. VV

COOOLL !! Une teuf de jobastre ! On fête ça quand ?

il doit me rester quelques ko d'edo !!

Me suis arrêté à la fiche n°2... et je suis tombé sur celle là !