Aller au contenu

Dakar 2016


lpm34

Messages recommandés

ca y est c'est parti... comme chaque annee on va essayer de suivre tout ca ensembles...

 

 

parcours-carte-v3.jpg

 

 

Programme du Dakar 2016 :
31/12 et 01/01 : Vérifications administratives et techniques
02/01 : Podium à Buenos Aires / Prologue / Liaison vers Bivouac "0" proche de Rosario
03/01 : Buenos Aires - Villa Carlos Paz
04/01 : Villa Carlos Paz - Termas de Rio Hondo
05/01 : Termas de Rio Hondo - Jujuy
06/01 : Jujuy - Jujuy
07/01 : Jujuy - Uyuni
08/01 : Uyuni - Uyuni
09/01 : Uyuni - Salta
10/01 : Journée de repos à Salta
11/01 : Salta - Belen
12/01 : Belen - Belen
13/01 : Belen - La Rioja
14/01 : La Rioja - San Juan
15/01 : San Juan - Villa Carlos Paz
16/01 : Villa Carlos Paz – Rosario

 

les rdv tele

 

Du 3 au 16 janvier 2016, sur les terres d’Argentine et de Bolivie, France Télévisions, le plus grand terrain de sport, proposera de vivre sur ses antennes et sur le site et les applications francetvsport les plus belles images et les intenses moments de l’édition 2016 du Dakar. Le nouveau parcours invitera à l’audace, sur des étapes techniques et rapides en altitude et sur de vastes plaines. Pour vivre cette course légendaire, France Télévisions proposera plusieurs rendez-vous quotidiens sur France 2, France 3, France 4 et France Ô.

France-4.png

Tous les jours* du 3 au 16 janvier en direct sur France 4, à partir de 18h40
Présenté par Lionel Chamoulaud et Luc Alphand

Une heure de direct au cœur de la course avec :

  • La découverte, à travers les images du Rallye, des plus beaux paysages d’Argentine et de Bolivie.
  • Les interventions de Claire Vocquier-Ficot et Arnaud Romera en voiture au cœur de la course, ainsi que de Jean-François Kerckaert à bord de l’hélicoptère de l’organisation, pour vivre la compétition en direct au plus près des pilotes.
  • Les reportages de Richard Coffin, Gaël Robic et Thierry Vildary, au cœur du bivouac, pour découvrir les histoires du Rallye et recueillir les réactions des staffs techniques et des concurrents autos, motos et camions.
  • De nombreux portraits permettant de découvrir notamment les pilotes féminines et handisport participant à cette aventure, aussi bien humaine que sportive.

À suivre notamment dans cette émission l’une des grandes nouveautés de cette édition 2016 : les véhicules de toutes les catégories seront réunis sur un même parcours lors des étapes qui traversent la partie bolivienne de la Cordillère des Andes, montant jusqu’à 4 000 mètres d’altitude.

France-3.png

Tous les jours* du 3 au 16 janvier en direct sur France 3, à partir de 20h10 juste après Tout le Sport
Présenté par Lionel Chamoulaud
Le rendez-vous incontournable pour tout savoir de l’actualité de la course, des résultats et des classements.

France-2.png

Tous les jours* du 3 au 15 janvier, en 3e partie de soirée sur France 2
Richard Coffin, Gaël Robic et Luc Alphand partiront à la rencontre des concurrents au cœur du bivouac et feront revivre les meilleurs moments de la journée. À découvrir également dans cette émission, de nombreux reportages autour des différentes histoires du Dakar, en particulier sur les fameux « poireaux », ces amateurs passionnés.

France-O.png

Tous les jours du 4 au 16 janvier, à partir de 8h10 sur France Ô

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Marc Coma de l'autre côté de la barrière

marc-coma-aso-auto-moto_e3683f8bb95b203e

Marc Coma, le nouveau directeur de course du Dakar (FRANCK FIFE / AFP)

Par notre envoyé spécial Xavier Richard

Publié le 02/01/2016 | 10:00, mis à jour le 02/01/2016 | 10:00

Sur les photos officielles, Marc Coma trône toujours en haut du podium. Il s'est juste décalé d'une cinquantaine de centimètres. La distance est courte mais le changement est radical. A 38 ans, l'Espagnol n'est plus un concurrent. Il n'en reste pas moins un compétiteur au service du Dakar dont il est devenu le directeur sportif.

L’homme ne change pas. Figé derrière son sourire et sa bonne éducation. La discrétion est sa marque de fabrique. Marc Coma n’est pas un beau parleur mais quand il l’ouvre, la rareté fait que tout le monde se tait et écoute. Un profil qui tranche avec celui de David Castera, jovial et bavard. Après le départ de l’emblématique directeur de course du Dakar chez Peugeot, ASO voulait un nom ronflant autant qu’un homme d’expérience. Celui de Coma s’est imposé comme une évidence. Sans proposition concrète sur quatre roues, le Catalan reçoit un coup de fil inattendu. Un mois après sa cinquième et dernière victoire sur le Dakar, Etienne Lavigne lui propose de le suivre sur une piste inconnue. "Je n'avais jamais imaginé que cette opportunité puisse se présenter, et il m'a fallu du temps pour réaliser et assimiler, mais il y avait un bon feeling avec ASO et Etienne", raconte Coma.

Une vision d'aventurier

Le temps de la réflexion passé, l’ancien leader de KTM accepte le challenge. "En rallye-raid, j'ai gagné tout ce que je pouvais gagner, l'obligation de gagner n'était plus là », explique-t-il presque en s’excusant. Sans trop savoir où il met les pieds, le Catalan se lance dans l’élaboration du parcours, parfaitement épaulé par le traceur italien Tiziano Saviero. Arrivé sur la pointe des pieds, Coma apporte son vécu de compétiteur. Il est le plus à même de sa voir la charge qu’un motard peut encaisser. « C'est toujours une grande compétition d'être dans le Dakar, j'y serai de façon différente, mais pour moi ce sera toujours une compétition, et je donnerai le maximum, (...) en essayant d'apporter ma vision de pilote, d'aventurier".

Il doit faire ses preuves

S’il lui faudra quelques éditions pour devenir un vrai patron de course, le boss du Dakar Etienne Lavigne n’est pas mécontent de sa trouvaille et de son apport. "David (Castera, ndlr) avait un vécu sportif tout à fait correct (cinq participations, trois Dakar terminés, un podium), mais Marc c'est exceptionnel, son expertise du Dakar en course est d'une autre dimension!", lâche Lavigne taclant au passage son ancien lieutenant. Reste à transformer l’essai en course où il faut veiller à la sécurité de tous les concurrents qui ne manquent jamais d’interpeller le directeur de course dès qu’un problème se présente. Diplomatie et relationnel sont indispensables au bon déroulement de l’épreuve. Après le jovial et très apprécié Castera, à Marc Coma de trouver son propre ton.

 

http://www.francetvsport.fr/dakar/marc-coma-de-l-autre-cote-de-la-barriere-313613

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il a pas froid aux yeux l'auvergnat avec sa 125!

Sylvain Espinasse a des fourmis dans les jambes. Concentré, le motard auvergnat achève l'installation de son roadbook à quelques minutes d'être appelé pour rejoindre le départ du prologue. « Ça fait trois jours que je suis à Buenos Aires, lance-t-il. Je ne tiens plus en place. J'ai hâte de retrouver la piste. » Pour répondre à l'appel du grand large, Sylvain a choisi cette année de relever un sacré défi. Il s'est en effet engagé pour boucler les 9500 km du rallye avec une 125 Husqvarna TE à moteur deux-temps. « Ce que personne n'avait encore fait depuis que le Dakar se court en Amérique du Sud, précise-t-il. Au départ, j'avais un peur de ne pas être pris au sérieux. Mais cela n'est pas le cas. » Il faut dire qu'à 46 ans, le Français a déjà bouclé deux Dakar. « J'ai choisi cette moto parce que c'est la machine de ceux qui se mettent à l'enduro, poursuit-il. C'est un peu la moto de monsieur tout le monde. J'ai envie de faire un message, de dire aux gens que tout est possible quand on le veut et qu'on y croit. » Les spectateurs de Buenos Aires ont apprécié.

  • Like 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ça commence décidément difficilement! Après l'accident et plusieurs blessés hier sur le prologue de 11 kms, la première étape d'aujourd'hui est annulée, la météo est si mauvaise que les moyens aériens ne peuvent pas assurer leur rôle en matière de sécurité pour la course!

 

Les concurrents vont gagner l'arrivée en convoi!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

comme vous le savez la p^remiere etape a ete neutralisee suite a de mauvaises conditions meteo

le dakar commencait donc aujourd'hui

 

Villa Carlos Paz > Termas Rio Hondo

_DAK_2016_0300_M_FR_PROFILE.gif

 

1. 003 AUS.pngPRICE TOBY RED BULL KTM FACTORY TEAM KTM - 450 03:53:09 - 2. 008 PRT.pngFARIA RUBEN ROCKSTAR ENERGY HUSQVARNA FACTORY RACING HUSQVARNA - 450 RR 03:53:11 00:00:02 3. 005 SVK.pngSVITKO STEFAN SLOVNAFT TEAM KTM - 450 RALLY REPLICA 03:54:30 00:01:21 4. 020 FRA.pngDUCLOS ALAIN SHERCO TVS RALLY FACTORY SHERCO TVS - RTR 455 03:55:02 00:01:53 5. 014 AUT.pngWALKNER MATTHIAS RED BULL KTM FACTORY TEAM KTM - 450 RALLY REPLICA 03:55:08 00:01:59 6. 006 ESP.pngBARREDA BORT JOAN TEAM HRC HONDA - CRF450RALLY 03:56:13 00:03:04 7. 002 PRT.pngGONCALVES PAULO TEAM HRC HONDA - CRF450RALLY 03:56:29 00:03:20 8. 047 ARG.pngBENAVIDES KEVIN HONDA SOUTH AMERICA RALLY TEAM HONDA - CRF450 RALLY 03:56:35 00:03:26 9. 004 CHL.pngQUINTANILLA PABLO ROCKSTAR ENERGY HUSQVARNA FACTORY RACING HUSQVARNA - 450 RALLY 03:57:33 00:04:24 10. 017 ESP.pngPEDRERO GARCIA JUAN SHERCO TVS RALLY FACTORY SHERCO TVS - RTR 450 03:57:39 00:04:30 11. 016 SVK.pngJAKES IVAN JAKES DAKAR TEAM KTM - 450 RALLY REPLICA 03:58:20 00:05:11 12. 018 ITA.pngBOTTURI ALESSANDRO YAMALUBE YAMAHA OFFICIAL RALLY TEAM YAMAHA - WR 450 F 03:59:34 00:06:25 13. 009 FRA.pngCASTEU DAVID TEAM CASTEU ADVENTURE KTM - 450 RALLY 04:00:11 00:07:02 14. 052 ESP.pngCERVANTES MONTERO IVAN HIMOINSA RACING TEAM KTM - RALLY 04:00:25 00:07:16 15. 007 PRT.pngRODRIGUES HELDER YAMALUBE YAMAHA OFFICIAL RALLY TEAM YAMAHA - WR450F 04:00:27 00:07:18

 

 

Toby Price (KTM) a remporté la deuxième étape du Dakar 2016 disputée entre Villa Carlos Paz et Termas Rio Hondo (Argentine). L'Australien a devancé le Portugais Ruben Faria (Husqvarna) de vingt secondes et le Slovaque Stefan Svitko (KTM) de quasiment une minute et trente secondes. A noter que la spéciale avait été raccourcie d'une centaine de kilomètres à cause des conditions climatiques qui avaient contraint les organisateurs à annuler la première étape dimanche.

Sur une piste assez compliquée, avec des passages délicats, des parties sinueuses et du vent, de la boue et de l'eau, les pilotes ont dû composer avec les éléments, certains ont été dans le rythme et d'autres n'ont pas eu la réussite escomptée. Mais pour tous, la course était enfin lancée après l'attente des jours précédents, et cela a levé les inquiétudes et permis de chasser la nervosité. Toby Price fait donc partie de ceux qui ont su négocier la route.

Price : "C'était parfait"

"Sur cette étape, tout s'est vraiment bien passé. Le vrai départ c'était aujourd'hui, alors c'est incroyable" a-t-il déclaré à l'arrivée. C'est bon d'être de retour. C'était une longue attente, pour une longue étape. Nous avons passé beaucoup de temps en selle, mais c'était parfait. Je suis impatient de recommencer demain. Ce sera un peu plus difficile. Mais je sais que je vais partir tranquille. Il se peut que ce soit assez similaire à ce que nous avons eu aujourd'hui, et il n'y avait pas trop de navigation. Alors nous verrons bien ce que la journée nous réserve. J'espère faire partie des prétendants, c'est bien pour ça que je suis venu. C'est déjà bon d'avoir gagné une étape".

 

La 2e étape du Dakar 2016 à la loupe
dakar-2016-mini-nasser-al-attiyah-auto-m

Nasser al-Attiyah, le pilote qatari dans sa Mini. (DPPI / DPPI Media)

Par notre envoyé spécial Xavier Richard

Publié le 04/01/2016 | 07:00, mis à jour le 04/01/2016 | 12:28

 

Du WRC au WTCC, le Dakar continue sa traversée des hauts lieux du sport automobile argentin. Sur les pistes entre Villa Carlos Paz et Termas Rio Hondo, on ne va pas faire de tourisme d’autant que la journée sera copieuse avec un des plus gros kilométrages du rallye. Il y en aura pour tous les goûts. Du rapide, du sinueux et pour finir du sablonneux.

La spéciale du jour

Motos/Quads : Etape 786 km. Spéciale : 450 km
Autos/Camions : Etape 858 km. Spéciale : 521 km

Le parcours : Gala de variété

Les concurrents vont en prendre plein les yeux dans ce petit coin de montagne. Entre les zig-zag et les passages de gué, le côté aventure du Dakar prend tout son sens. Passé cette région bucolique, les pur-sang vont pouvoir s’exprimer en arrivant sur un plateau semi-désertique. Des pistes plus larges et plus roulantes où les plus rapides dépasseront les 160 km/h. La fin de la spéciale retrouve un peu de verdure et de piquant autour des cactus. Le sable fait sa première apparition et les autos/camions ont droit à une boucle rien que pour eux.

Le point chaud : Deux lignes …droites

On a beau tout savoir ou presque de ce coin de l’Argentine, le Dakar peut encore réserver quelques surprises. Dans ses notes à l’issue de ses reconnaissances, Jean-François Kerckaert avait tout particulièrement fait une croix sur cette étape. Entre les collines, deux lignes droites ont retenu son attention. "L’une est rapide et dangereuse car bourrée de dangers invisibles de loin et l’autre pénible : vieux chemin agricole abandonné où les herbes hautes masquent des ornières dignes d’être qualifiées de tranchées. "

Le mot clé : la DZ ou Deceleration Zone

Durant la première partie de la spéciale, la population locale ne sera jamais très loin. Le rallye fera même quelques incursions dans les villages. Une seule consigne. La même pour tous. On roule au ralenti dans ce que le road book appellera des DZ. Dans ces zones, il est obligatoire de respecter la limite de vitesse autorisée, 30 ou 50 km/h selon l’endroit. Ceux qui ont essayé d’aller plus vite ont eu des problèmes. Grâce au GPS contrôlé tous les soirs au bivouac, chaque infraction est relevée. Les concurrents imprudents seront au mieux pénalisés, au pire exclus de la course.

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les concurrents motos se rapprochent actuellement du départ de la spéciale, de nouveau raccourcie en raison des conditions climatiques. Le secteur chronométré du jour débutera donc un peu après le CP1 initial (kilomètre 112,91) et s’achèvera au kilomètres 314 comme programmé. De fait, la spéciale comptabilisera un peu moins de 200 kilomètres aujourd'hui."premier contrôle auCP4

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Triplé Honda et un français à la quatrième place, et mon petit favori Sylvain Espinasse numero 111 qui se débrouillait bien aux passages des premiers WP mais qui a du avoir un souci sur la fin car il a bien reculé dans le classement !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Cyril Despres parti depuis deux ans et en attendant la relève incarnée par les Meo, Renet, Van Beveren et De Soultrait, Alain Duclos est le pilote français le plus expérimenté du plateau moto. Son début de Dakar le place dans de bonnes conditions pour décrocher le Top 5 qu’il vise avec Sherco depuis plusieurs années.

 

Deux années de suite son Graal était à portée de mains. Par deux fois la mécanique l’a trahi. Régulièrement dans les dix premiers, c’est un problème électrique qui avait mis la Sherco d’Alain Duclos loin de ses objectifs en 2015. Le petit constructeur français a beaucoup travaillé pour corriger ses vilains défauts, dus en grande partie à un manque de roulage. Avec Alain Duclos, ils ont décidé d’utiliser les grands moyens. Semi-pro, le franco-malien s’est arrangé avec son employeur pour se consacrer à 100 % au Dakar à partir de septembre. « C’est la première fois que j’arrive à faire ça et ça change tout, explique-t-il. On a pu faire des tests au Maroc. On a roulé plus de 10.000 km et faire plusieurs modifs sur la moto. »

Ce projet, Duclos y croit très fort. « Notre équipe n'a pas les moyens des plus grandes écuries et c'est d'autant plus motivant. Travailler avec Sherco revêt une dimension particulière. Pour moi, c'est presque une démarche citoyenne que de participer à ce projet porté par une entreprise française. On sait tous que tout est possible sur le Dakar, et entrer dans le Top 5 avec une moto française serait une merveilleuse récompense, à la fois sportive et humaine. »

Objectif en vue

Il n’y a pas encore eu de victoire d’étape mais le résultat est pour le moment à la hauteur des espoirs que ces essais ont fait naître. 3e puis 9e, voilà Duclos 5e du général à seulement 1’10’’ de la Honda de Barreda. « J’ai roulé très prudemment car dans les montagnes il peut y avoir de lourdes conséquences en cas d’erreur, a raconté le pilote Sherco. Malgré tout, j’ai rattrapé ceux qui étaient devant moi à la fin, dans les derniers kilomètres, et on a terminé ensemble. »

Un démarrage presque idyllique mais pas « d’enflammade ». Tout le monde n’a pas encore produit son effort. Certains rouleraient sur la réserve. « Je suis content que ça démarre comme ça. Néanmoins, je pense que les leaders supposés sont en attente des grandes spéciales, avance Duclos. Ils commenceront à sortir du bois à partir de demain ou après-demain. On est déjà au 3e ou 4e jour du Dakar, alors il ne faut plus traîner pour être dans le coup. Ma moto marche très bien, et elle est particulièrement à l’aise sur ce type de circuit, donc j’en tire les bénéfices. » Y’a plus qu’à tenir 10 étapes…

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

×
×
  • Créer...

Information importante

Je reconnias avoir pris connaissance des règles et des conditions d'accès à cet espace et je m'engage à les respecter