Flo

12/04/2009 Qatar Losail 26/04/2009 Japon Motegi 03/05/2009 Espagne Jerez de la Frontera 17/05/2009 France Le Mans 31/05/2009 Italie Mugello 14/06/2009 Catalunya Catalunya 27/06/2009 Pays-Bas Assen 05/07/2009 USA Laguna Seca 19/07/2009 Allemagne Sachsenring 26/07/2009 Grande-Bretagne Donington 16/08/2009 Rep. Tchèque Brno 30/08/2009 USA Indianapolis 06/09/2009 San Marino & Riviera di Rimini Misano 20/09/2009 Hongrie Balatonring 04/10/2009 Portugal Estoril 18/10/2009 Australie Phillip Island 25/10/2009 Malaisie Sepang 08/11/2009 Valence Ricardo Tormo

ben c trop piti et si j essai de l ouvrir en grand rien

clique ici

bienvenue

BEN MOI JE VOIS RIEN !!!!!!!!!!!!

decouverte et entrainement

yes, je viens de voir leur presentation,mais apparement ils ne nfont pas la marque motomod

bienvenue

ben non, je sais mm pas qui c

coucou pimousse

voila, je m explique... J ai essayé .ce pantalon cet aprem chez cardy mais je trouve pas moins cher sur le net Donc si quelqu un a un tuyau pour l avoir à moins de son prix, c est à dire - de 159£ je suis preneur. Merci à vous.

je savais remi que tu reagirais à ça

La moto, c'est la liberté, le vent de face, l'assurance de ne jamais être coincé dans un embouteillage (particulièrement en Ile de France). C'est aussi l'idée d'une certaine jeunesse… Même si la moyenne d'âge des motards se situe en 2005 à 34 ans (contre 30 ans en 1995) ! Mais la moto et le cyclo, c'est aussi 1 237 tués et 32 130 blessés en 2005. Les deux roues motorisés ne représentent que 0,8% des transports privés français, mais 23 % des tués et près de 30% des blessés ! En rapportant la proportion au nombre de kilomètres parcourus, on a 20 fois plus de "chance" d'avoir un accident en tenant un guidon qu'un volant. Et les motos sont souvents vicitimes : dans les accidents corporels moto-voiture, les voitures sont plus souvent responsables (48 %) que les motos (31 %). Mais la proportion s’inverse pour les accidents mortels (47 % pour les motos contre 45 % pour les voitures). Pourtant, tous les motards n'ont pas forcément envie d'alimenter les statistiques de la Sécurité Routière. Si la conduite d'une voiture n'est pas un acte banal, celle d'une moto l'est encore moins. Zérotracas.com le rappelle aux motards et à tous ceux qui doivent rouler avec eux. lui écrire Lire sa bio " Pour un 2 roues, vélo ou moto, il est très difficile de changer de direction brutalement. La faute à l'effet gyroscopique, le même qui faisait tenir droit les cerceaux de notre enfance. Pour tourner, un 2 roues doit se pencher, et pour freiner, il n'a que 2 roues (forcément), donc moins d'adhérence qu'une voiture. C'est pour ça qu'on n'a pas le droit de surprendre un 2 roues. Le plus fort doit faire attention au plus faible, et la plus grande des impolitesses n'explique pas qu'on mette en danger la vie de quelqu'un. Alors, d'avance, merci aux voitures de faire attention. " La maniabilité et les accélérations grisantes d'une moto portent le germe de l'entorse au code de la route et, pour certains motards, de la conduite à risque. Le sentiment de liberté et de puissance fait oublier qu'en cas de choc, il n'y a pour seule protection que quelques bouts de cuir et un casque. Mais il est trop simple de désigner les motards comme seuls responsables de leur surmortalité. Les torts sont toujours partagés, et c'est un ensemble de comportements qu'il faut changer. A qui la faute ? Les motards sont toujours montrés du doigt, souvent à juste titre : vitesse excessive, non-respect des règles, alcool dans certains cas. Pourtant, selon la FFMC (Fédération Française des Motards en Colère), dans 70% des accidents impliquant une moto, son conducteur n'est pas responsable. Une pierre dans le jardin des automobilistes. Une autre dans celui des pouvoirs publics puisque, toujours selon la FFMC, ardente défenseur du droit des motards, 42% des accidents de moto sont dus à l'inadaptation des infrastructures. Même si la "Fédé" exagère un peu, il y a forcément du vrai là-dedans. Mais tous les partis ont bien du mal à s'entendre. Les automobilistes ont l'image du "méchant motard" qui se faufile, et les pouvoirs publics arguent de la difficulté (et du coût) de la mise en place d'un matériel de signalisation et de protection adapté aux risques spécifiques d'un accident de moto. Glissières de sécurité guillotines, revêtements glissants, terre-pleins centraux déséquilibrants sont régulièrement dénoncés par la FFMC. Malheureusement, la faiblesse relative du nombre de motards n'est pas propice aux déblocages des crédits… Pourtant, au-delà de la (nécessaire) responsabilisation individuelle du motard, il convient de sensibiliser les autorités et les automobilistes à la présence de ces curieux usagers de la route, casqués et bardés de cuir, mais usagers tout de même. Aide toi, et le ciel t'aidera. En attendant d'hypothétiques progrès de l'état d'esprit des automobilistes et d'aménagement de nos routes, c'est donc au motard de prendre soin de lui-même. En commençant par s'équiper correctement, lui et sa moto. Pour le pilote (et le passager) : gants (même en été), casque homologué (à changer tous les 3 ans, et tout de suite après un choc, même bénin), vêtements et bottes renforcés. Bien sûr, ce n'est ni élégant, ni agréable quand il fait chaud, mais c'est indispensable. Pour la machine, et avec plus de rigueur encore que pour une voiture, on vérifiera tous les systèmes de sécurité active (freins, suspensions, pneumatiques, etc.), car pour la sécurité passive, on repassera ! Ensuite, il y a un travail de longue haleine : faire en sorte que le motard ne soit plus perçu comme un ennemi par l'automobiliste. Même si une voiture qui déboîte vous impose une périlleuse embardée, évitez de défoncer la portière à coups de botte. Une explication ferme, mais courtoise, sera beaucoup plus efficace. Le coupable ne vous avait sans doute pas vu ; soyez pédagogue, expliquez les dangers de la moto et peut-être que dans 10 ans, ça ira mieux… Juste retour des choses, n'oubliez pas de remercier le chauffeur qui s'écarte pour vous laisser le passage. Au nom de la loi. Amoureux de la liberté et de la vitesse, le motard déteste la loi et entend profiter des performances de sa machine. D'ailleurs, selon Gilles de Robien, Ministre des Transports, 7 motards sur 10 dépassent systématiquement les limitations de vitesse. Rappelons qu'elles sont valables pour tous, à 2 ou 4 roues, et finalement, protègent tout le monde. Ne vous faites pas d'illusion ; les contrôles (vitesse, alcool, etc.) vont se multiplier et personne ne pourra y échapper ; d'où la chute spectaculaire des ventes des motos hyper-sportives capables de frôler les 300 km/h. Par ailleurs, les motards se plaignent à raison de certaines infrastructures. Si l'on ne peut les changer pour des raisons budgétaires, qu'ils militent pour qu'elles soient signalées. Point positif (il y en a), de nouvelles formations pour des plus jeunes, comme le BSR (Brevet de Sécurité Routière), devraient, dès le collège, sensibiliser les futurs usagers de la route à ses dangers. Le cas Paris Parmi toutes les choses qui surprennent les provinciaux en visite dans la Capitale, le nombre de motocyclistes et surtout de scootéristes n'est pas la dernière. Avec 70000 utilisateurs en Ile de France, la moyenne nationale explose, mais les statistiques demeurent : la moitié des victimes d’accidents à Paris (8 500 en 2005) sont des conducteurs de deux-roues motorisés alors qu'ils ne représentent que 6,6 % des déplacements de surface mécanisés ! Parmi eux, beaucoup de coursiers qui, payés au trajet, multiplient les risques pour gagner leur vie. Mais aussi les traditionnels " fans de moto ", et aussi bon nombre de cadres, passés pour des raisons pratiques au scooter. Plutôt prudents, ces derniers, venus à la 125 cm2 grâce à leur permis voiture, pâtissent de leur inexpérience sur 2 roues. Les plus raisonnables prennent quelques leçons, mais la plupart se lancent sur la route en toute innocence et sont souvent victimes d'accrochage. L'équivalence "permis B" (au bout de 2 ans) arrange bien les vendeurs de scooters, mais il faudrait sans doute imposer une formation aux débutants. Dans Paris, une 125 bien réglée roule aussi vite qu'un "gros cube". Pour conclure En 30 ans, la moto a bien changé. Techniquement d'abord, en gagnant en propreté, fiabilité et sécurité. Dans les années 60-70, la moto était un signe de rébellion. Dans bien des cas aujourd'hui, c'est une marque d'adaptation au monde. L'esprit motard, cette solidarité indéfectible qui faisait qu'au moindre pépin on était certain de voir le premier camarade casqué s'arrêter pour donner la main, est aussi en voie de disparition. Signe d'une société qui s'individualise. Pourtant, comme dit la pub, la route est un espace à partager. Ainsi, un petit coup d'œil dans le rétro, un changement de direction signalé et globalement une conduite plus civilisée, pourraient éviter la mort de nombreux motards. Et peut-être faire éclore une nouvelle solidarité, où le nombre de roues n'auraient plus d'importance.

ohhhhhh arrete je vais rougir et en plus je suis pas celib

bienvenue

bienvenue

bienvenue pimousse

1, 2, 3, 4

je l espere aussi

no soucy pour ça, si ça pet vous servir, c est avec plaisir

quoi que kad aurait pu jouer dedans

heu jsais pas j hesite