le Marluche

2ème épisodes de nos aventures au Pikes Peak 2016 https://www.facebook.com/notes/bruno-marlin/pikes-peak-hill-climb-2016-laventure-du-team-les-marluches/10202219190597164

ici

c'est fait depuis longtemps

Lolo est un pro, c'est son métier et son gagne pain, il lui faut des retombées financières pour sans sortir et vivre, donc il est obligé de faire des choix. Par exemple pour le pikes peak, son voyage a été financé par des sponsors, d'ou les petits messages dans ses vidéos pour Birr, la central du casque ect. et puis il y avait tous les frais supplémentaires, motel, bouffe ect.. il a fait un reportage en Harley pour une société de voyage aux US dont les retombés devrait lui rembourser ses frais.

si tu veux des cours de pilotage, tu sais ou me trouver ;-) oui c'est sympa de la part du journaliste, mais c'est vrais qu'on est à part les sidecariste, meilleure entente y a pas

moi ALLIANZ depuis de nombreuses années pour les motos, la voiture et la remorque, par contre le side est à la mutuelle des motards car y a pas mieux en tarif un exemple, j'ai fais chiffrer hier pour la Benelli Tornado, pour les mêmes conditions, 300 € chez allianz et 365 à la mutuelle. Par contre le side en tout risque est à 400 à la mutuelle, alors qu'on me demandais entre 600 et 800 ailleurs.

Superbe essai de 3 side-cars de rallye par Le Repaire des Motards http://www.lerepairedesmotards.com/conseils/pilotage-side-car-sportif.php

Avant j'étais retissant à cause du prix et puis au rallye de la Sarthe en 2011, un équipage a fait un tête à queue assez violent, et ils ont été tous les 2 éjectés et tous les 2 ont été gravement touchés au dos malgré le port de dorsales (qui sont obligatoires en compétition). Depuis ça a fait beaucoup réfléchir les équipages de side et on est de plus en plus à en porter et en solo c'est pareil, on en vois pas mal. C'est franchement un grand plus dans notre sécurité. Je continue à porter ma dorsale en dessous même si ce n'est pas obligatoire avec le gilet, car on ne sais jamais, si j'oublie un jours d’accrocher le cordon D'ailleur au Pikes Peak les ricains sont étonnés de nous voir avec nos gilets, ils ne connaissent pas du tout ou tres peu

tu as une bonbonne d'avance ? car ça t'arrivera un jour ou l'autre de le gonfler sans le faire exprès parole d'expert

suis en vacance mercredi soir alors si vous êtes sages, je le met jeudi

vivement qu'il rentre, pour nous mettre le 3ème épisodes du Pikes Peak

mdr... je vais essayer de vous mettre le 2éme épisode dans la semaine ;-)

j'ai pas beaucoup avancé dessus, trop pris par le Pikes Peak, mais maintenant je vais avoir plus de temps. J'ai déjà trouvé le moteur et le cadre

le gros problème, c'est qu'il n'y a pas de traitement connu la TRE-K 1130 La TNT 1130 et j'ai aussi un projet en cour depuis 2 ans, de reconstruire une 650 Tornado de 1968 qui a courue en Flat Trak aux USA

non c'est une 900, les premières sorties avant les 1130, elle est de 2003

J'ai encore craqué pour une belle italienne

c'est écrit comme un motard ;-)

Participer au Pikes Peak est une grosse aventure. Voici le premier chapitre de cette aventure Bonne lecture https://www.facebook.com/notes/bruno-marlin/pikes-peak-hill-climb-2016-laventure-du-team-les-marluches/10202194193772259 désolé c'est un lien Face-book mais je n’arrive pas à intégrer l'article si un modo sait le faire ?

bientôt il va nous sortir un trip en harley aux US La semaine avant la Pikes Peak Week, il a fait un grand tour à travers plusieurs état avec son fil, avant de nous rejoindre.

la saison est terminée faut attendre novembre, le congres de la fédé, pour connaitre le calendrier 2017 des rallyes peut être les Garrigues à nouveau, je n'ai aucune info pour le moment

mais il est partout notre Lolo

En bon rallyman, je te fais l'inter sur les gravillons

voila un excellent article http://www.lerepairedesmotards.com/conseils/rouler-vite-petite-route-departementale-rallye.php

y a aussi du texte Jamais ligne droite ne m’aura autant envoûté, passionné, perturbé, questionné. La Transsibérienne mesure 11 .000 km, soit l’une des plus longues routes au monde avec la route transcanadienne. Habituellement, la droite me donne la nausée à moto, contrairement aux virages. Là, va savoir pourquoi 3.500 bornes que je roule sans prendre d’angle et que j’ai la banane. Hé ho, je suis quand même en plein cœur de la Sibérie, j’ai laissé derrière moi la taïga pour attaquer la toundra (tu te souviens à l’école, t’arrivais jamais à retenir laquelle était laquelle). Le pneu arrière de la Multistrada Enduro est tellement carré que je n’ai plus besoin de sortir la béquiller à l’arrêt. Tiens je me demande combien fait la plus longue ligne droite de cette ligne droite. Bah oui, parce qu’ils ont quand même quelques virages de temps en temps. On se demande pourquoi car ce n’est pas le relief qui les a gênés pour tracer cette route. D’ailleurs la transibérienne n’est pas une route, c’est un métier pour les milliers de routiers qui la sillonnent, ou un sport pour les voitures qui entreprennent avec virilité chaque dépassemnt. Mais elle ne s’emprunte certainement pas comme ça, à la légère. Depuis que je suis parti, j’ai vu une bonne dizaine d’accidents dont un mortel. Pour cette raison, il m’est arrivé de la détester avec ses carrefours improbables et l’impression d’être coincé entre des rangées de pins entre Moscou et Perm. L’absence d’horizon et de vue te sape le moral autant que les nombreux troçons en travaux. Mais aussitôt, je retombe sous son improbable charme. Celui de ses Lada 2104 break, qui se trainent gaiement avec des familles au teint des années 80. La vie au bord de la Transsibérienne possède un charme suranné des années, ambiance « congés payés » sur la célèbre Nationale 7. On n’hésite pas à changer une roue de secours sur le bas de côté de la route, de préférence en s’exposant côté circulation. Là, une voiture qui vient de perdre une roue, ici une remorque renversée dans le bas côté. On ne voyage pas sur la transsibérienne, on s’aventure. Nombre de 38 tonnes à bout de souffle, ont le capot ouvert. On y vend des cèpes fraîchement cueillis, des prunes, des patates ou des peaux de moutons retournées. Le style de conduite russe est lui aussi très … années 80. Les énormes camions KamAZ juchés sur leurs immenses roues te font vite comprendre que l’hiver n’est pas tendre ici. J’aime aussi les panneaux indicateurs de ville écrits en cyrillique. Depuis ce matin, le GPS s’entête à me dire qu’il ne peut pas me calculer l’itinéraire censé me mener à Novossibirsk (rien que le nom me fait voyager). J’ai remarqué comme point commun avec notre alphabet les lettres « o » et « k ». Voilà qui a suffi a me faire reconnaître Novossibirsk et à me guider toute la ,journée. La tentation de sortir de la Transsibérienne est grande mais les quelques villages qui la bordent sont rarement distants de plus d’une dizaine de kilomètres pour se terminer en cul de sacs. Nombre de routes se terminent en chemins aux ornières improbables et inenvisageables avec la Multistrada. Ha J’oubliais aussi les flics en Lada. Pas facile d’imaginer une course poursuite avec un tel pur sang ! Depuis Perm, il y a un radar fixe tous les 10 kilomètres que nombre de berlines franchissent, pied dedans à 160/180. La vitesse serait limitée à 110 mais tout le monde roule sur cette nationale avec 20 bornes de plus facilement. Pour la part, ça dépend un peu de l’humeur. Lorsque t’as 1090 kilomètres à faire dans la journée (avec deux heures de décalage horaire défavorable) et que la Multistrada t’offre plus de 500 km d’autonomie, il est difficile de résister à la tentation de faire rugir le twin à chaque dépassement. Allez demain, je vais quand même m’autoriser une petite infidélité à la transsibérienne. Départ de Novossibirsk, cap au sud vers les montagnes de l’Altaï aux frontières de la Mongolie. Mais ça, c’est une autre histoire de cette incroyable traversée que je vous réserve pour dans quelques jours !

Euhhh tu t'est pas trompé de post car je ne vois pas bien le rapport avec le voyage de Lolo