le Marluche

Dans 2 semaines aura lieu la dixième Sunday Ride Classic sur le circuit Paul Ricard. Et le programme est exceptionnel alors ça peut être une belle idée de sortie voila le programme de ces 2 jours http://agenda-automobile.com/10e-sunday-ride-classic-moto-circuit-paul-ricard/

surtout que cette fois Hervé a parlé http://www.paddock-gp.com/motogp-herve-poncharal-explique-quitte-yamaha-va-chez-ktm/

et le classement des 3 jours

Résultat final de la journée

et Syahrin 13ème temps, premier roocky si je me trompe pas, Poncharal ne c'est pas trompé, comme d'ab :-)

il est en Forme Johann Zarco réussit un extraordinaire 1’54.029, à moins d’un dixième du record absolu de Jorge Lorenzo (1’53.927) établi en 2008 quand il y avait encore des pneus de qualifications. L’écart sur le deuxième Cal Crutchlow est désormais de 0.428. Johann va-t-il descendre sous 1’54 ?

Zarco a peu roulé pour le moment à 2h de la fin des essais mais il montré ce qu'il sait faire

c'est 342.8 en fait, ce qui est déja pas mal

gros bug des chronos

va sur cette page, c'est une des plus complète et une des plus réactive https://www.facebook.com/search/top/?q=paddock-gp

tu as la date du larzac moto ripaille ? car Laurent m'a appelé jeudi, on en a parlé pour que je l'ajoute à mon calendrier, et il m'a dit que pour le moment la date n'est pas encore définie car il ne veut pas que ça tombe en même temps que d'autres événements

La superbe analyse de Stéphane Lacaze Tech3 et Yamaha : revers de fortune Tech3 ne renouvellera pas son contrat avec Yamaha fin 2018. Après presque 20 ans de vie commune, la nouvelle a fait l’effet d’une bombe même si, en y regardant de plus près, elle n’est pas vraiment surprenante. Ce qui étonne, c’est l’inversion du rapport de force qui liait les deux partis. Revenons juste quelques mois en arrière. Il y a un an, tout semblait sourire aux bleus. Ils disposaient, de l’avis de tous, de la meilleure machine du plateau, du pilote le plus charismatique de ces 30 dernières années (Rossi) et ils venaient de signer le plus prometteur du moment, Vinales, courtisés par tous après une superbe saison 2016 sur la Suzuki. À ce moment précis, Hervé Poncharal n’avait pas vraiment de quoi se réjouir. Il avait vu Rins lui filer sous le nez, attiré par les sirènes d’une moto d’usine, Pol Espargaro et Bradley Smith étaient partis chez KTM pour les mêmes raisons et il faisait un sacré pari en alignant – contre l’avis de beaucoup – Jonas Folger et – sans oser y croire – Johann Zarco. Les précédentes saisons disputées avec Smith et Espargaro l’avaient convaincu, à force d’entendre le même refrain de ses pilotes, qu’il était impossible d’obtenir de meilleurs résultats avec le matériel dont il disposait. Il n’avait donc pas beaucoup d’argument à opposer à Yamaha qui, malgré une rigueur et une équité de traitement indiscutable, refusait d’en faire plus pour eux. L’usine piochant allègrement chez la concurrence ou les catégories inférieures pour se fournir en pilotes, au détriment de leur soi-disant team junior… Pas beaucoup d’arguments non plus pour séduire les talents les plus prometteurs, toujours attirés par le statut de « pilote d’usine », autrement plus flatteur que « pilote satellite ». Et puis, il y avait cette rumeur de plus en plus persistante qu’il ne pouvait plus feindre d’ignorer. Au crépuscule de sa carrière de pilote, Valentino Rossi voudrait achever l’œuvre de formation de pilotes italiens débutés avec le team VR46. Présent en Moto3 depuis des années, tout juste arrivé en Moto2, il ne manque plus à l’icone italienne qu’un team en MotoGP pour offrir une filière complète à ses compatriotes. Et entériner son statu de quasi divinité dans son pays. Or, les places que propose la Dorna en MotoGP son comptées et les machines performantes ne sont pas légion. Rossi veut le meilleur, Rossi veut des Yamaha. Et la marque d’Iwata a toujours déclaré ne pas souhaiter fournir plus de deux machines satellites. Pas la peine d’être un grand maitre d’échec pour constater que, dans la partie qui vient de s’initier, il n’y a guère de place pour Tech3 chez les Bleus. Hervé en est conscient : face à Valentino Rossi sa fidélité sans faille, l’expertise de son team, son sérieux et ses résultats ne pèsent pas lourd. Mais que faire ? Les marques capables de proposer de bonnes machines satellites ne courent pas les rues. Ducati équipe déjà la moitié du paddock, Honda aligne 5 motos sur la grille – et, malgré le titre de Marquez, personne n’est très pressé de prendre le guidon des indomptables RCV en cette fin de saison 2016. Reste Aprilia, qui a déjà bien du mal à mettre au point ses motos officielles et Suzuki, pas vraiment pas chaud pour investir dans les deux machines nécessaire à un team bis. Il y a bien l’inconnu KTM, mais malgré les moyens déployés par Red Bull et le savoir faire Autrichien (épaulé par toutes les grosses têtes débauchées chez Honda et Magneti Marelli, pour ne citer qu’eux), c’est une grosse côte. Voilà donc Hervé suspendu à un mince espoir : réussir une belle saison 2017 et… espérer un miracle. Un an plus tard le miracle est arrivé. Zarco est roockie de l’année, 3 podiums et 2 pôles positions et une sixième place finale, Folger a eu son quart d’heure de gloire (et même un peu plus) au Sachsenring, devant les siens et les rapports avec Yamaha sont désormais plus clairs. Ou plutôt, les rapports avec Rossi qui, de déclarations en coups bas a fait de Johann Zarco sa bête noire. Et comme le français s’en fout comme de sa première paire de sliders, la rancœur de l’italien ne fait que croitre. Régulièrement devant les motos d’usine, face à un Rossi impuissant et un Vinales qui, à bout de ressources, a clairement lâché l’affaire sur les dernières courses, l’étoile de Tech3 et de son duo star, Zarco/Coulon, n’a jamais brillée aussi fort. Pour autant, la situation demeure tendue… jusqu’à ce début d’année 2018 ou tout se précipite. Vinales déjà reconduit pour deux ans, Rossi prêt à signer pour une saison de plus, il devient clair qu’il n’y aura pas de Yamaha officielles disponibles pour Zarco en fin d’année. Parallèlement, KTM, qui a fait une saison époustouflante pour une première expérience en catégorie reine, par la voix de son boss, Stefan Pierer, fait du charme à Johann depuis le GP de Valencia. On sait aussi que les autrichiens, contrairement à Suzuki, ne se sont jamais montrés hostiles à l’idée d’équiper un autre team… Dans la déclaration où il annonce sa séparation d’avec Yamaha en fin d’année, Hervé Poncharal dit qu’il ne pouvait refuser une offre qu’il attendait depuis longtemps. Je connais assez Hervé pour avoir une certitude : ce qui compte le plus pour lui, c’est la pérennité de Tech3 et l’avenir de ses employés, mais aussi la quête de victoires. À coup sûr, Hervé n’a pas choisi de quitter Yamaha pour un pont d’or. Je parie davantage sur l’assurance de disposer d’un matériel « usine » et d’être traité comme un second team officiel. Ce ne sont que des conjectures. Je n’ai pas appelé Hervé pour lui demander. D’abord parce qu’il est représentant d’un team sous contrat avec Yamaha jusqu’à la fin de la saison, et qu’il fera son boulot jusqu’au bout, avec le professionnalisme qui le caractérise. Ensuite parce que c’est une gentleman. Soit il ne m’aurait rien dit, soit je n’aurais pas pu partager ses confidences pour ne pas mettre son équipe dans l’embarras avec les japonais. Mais je parie qu’il a signé avec KTM. Et je ne serais pas surpris qu’il conserve Johann Zarco (qui voudrait stopper le tandem qu’il forme avec Guy Coulon, quand on voit leurs résultats ?) en 2019, sur une machine orange, ayant troqué Monster contre Red Bull comme sponsor titre… En face, Yamaha, qui avait toutes les cartes en mains 12 mois plus tôt, est pris de court. La moto magique ne fonctionne plus qu’avec Zarco, qui va filer voir ailleurs en fin de saison. Vinales est là pour deux ans avec des perfs inquiétantes après les derniers essais en Thailande. Et Valentino Rossi se verrait bien jouer les prolongations encore un an ou deux, mais n’est toujours pas satisfait de sa M1. Du coup, qui pourrait faire rouler deux M1 satellites la saison prochaine, pour pallier à d’éventuelles défaillances des pilotes officiels et jouer le titre constructeur, si prestigieux aux yeux des japonais ? Pas Rossi, s’il doit conserver son statu de pilote d’usine. On ne peut pas être au four et au moulin dans un sport aussi complexe. Et quel team accepterait le statut « d’intérimaire » en attendant que le VR46 Team soit prêt à endosser son rôle de « Junior Team » Yamaha, théoriquement pas avant 2021, date à laquelle les places du MotoGP seront de nouveau réattribuées ? De quoi se faire des nœuds au cerveau avant le début de cette campagne 2018, pour les responsables de Yamaha, comme pour Rossi qui pourrait être tenté de mettre un terme à sa carrière sportive plus tôt, afin de combler le vide soudain laissé par Tech3. Sachant que la Dorna ne lui refusera jamais 2 places de plus si « sa majesté » en fait la demande. Et voilà comment de simple pion, balloté d’un côté à l’autre de l’échiquier, Tech3 est devenu une pièce maîtresse dans les manœuvres à venir. Et en attendant, Hervé dort sur ses deux oreilles… et je suis bien heureux de ce joli tour du destin.

en tous cas elle doit etre bonne cette offre car vu ce qu'il dit et lâcher une marque comme Yamaha, la carotte doit etre bonne. je vois bien Zarco rester car il aura une moto d'usine

dans son communiqué hervé donne l'explication On nous a fait une offre, qui comprend quelque chose que nous attendions depuis que nous avons commencé avec Tech3 et je ne pouvais pas dire non. Hervé Poncharal Team manager de Tech 3 « Résumer 20 ans d’un partenariat incroyable entre Tech3 et Yamaha en quelques mots est une mission très difficile. Depuis que j’ai rencontré M. Iio en 1998, quand il m’a donné l’opportunité de rejoindre Yamaha Motor Corporation, ce fut un voyage extraordinaire ensemble. Tout ce dont je me souviens, ce sont des souvenirs fantastiques, de bons résultats, une atmosphère géniale et des sentiments étonnants que nous avons partagés avec la famille Yamaha, ce qui restera toujours dans mon esprit et dans mon cœur. Clairement, mettre fin à ce genre de partenariat est une grande décision pour moi. Tout ce que je veux dire, c’est plus qu’un grand merci à Yamaha, à M. Tsuji, à M. Tsuya, à M. Jarvis et à M. Nakajima, ainsi qu’à tous ceux qui nous ont soutenus et aidés. « Tech3 est une petite entreprise qui doit penser à l’avenir et doit peser les différentes options. On nous a fait une offre, qui comprend quelque chose que nous attendions depuis que nous avons commencé avec Tech3 et je ne pouvais pas dire non. Mais évidemment, nous sommes l’équipe Monster Yamaha jusqu’au dernier tour du GP de Valence 2018. Johann Zarco et Hafizh Syahrin se battront pour les meilleures positions et sans aucun doute, Yamaha peut compter sur nous pour être un partenaire performant et fidèle. « Une fois de plus, un énorme merci pour le soutien de Yamaha. J’espère qu’ils pourront continuer et avoir le succès qu’ils méritent et éventuellement trouver un partenaire pour remplacer Tech3. »

moi, j'en avais sur mon side pas senti de balourd, mais j'ai équilibré mes roues après l'avoir mit sinon j'ai pas eu de crevaison, donc je ne sais pas si ça aurait marcher, mais ce produit est connu et aprécié

oui c'est vraiment une belle expérience l'année dernière j'ai fait toute la saison de rallyes routier pour Sonia Barbot, plus la X-Roadster et le moto tour. Et cette année je serais avec Stéphane Gueguin, le boss de MOTOR Spirit à Ales, qui va faire les rallyes routiers et je vais être également avec les 4 pilotes du team Corsica moto 2018 en Protwin

ça va encore vu que je n'ai pas refais de compétition depuis le pikes peak 2016, je me suis habitué. Et je suis tellement occupé par ma reconversion en assistant de compétiteurs que j'ai tourné la page assez facilement.

Un dernier petit tour pour faire le plein d'essence, avant son départ pour Cavaillon, vers de nouvelles aventures

Un petit message de Lydia sur facebook "Merci la vie ! Je suis sortie et continue de me soigner sagement avec maman mes faiblesses"

je confirme pour en utiliser plusieurs depuis la création de nova-moto

tu peu ajouter aussi qu'Isabelle teste personnellement sur ses motos ou sur elle, tous les produits pendant une bonne période avant de les mettre en vente ou pas. C'est pas commun comme démarche.

demande à Martial, le mari de Sonia, c'est un tres bon artisant

en gros plus de 10km de cortège au départ de Clermont l'hérault

en direct de la manif sur facebook https://www.facebook.com/KazaaInfosRadars/videos/1788741531177226/

heuuu !!! c'est fini depuis hier les essais et ce chrono de Zarco c'était sous la pluie dans la nuit de dimanche à lundi