Adventre Posté(e) le 20 février 2014 Posté(e) le 20 février 2014 Depuis des années, la France est l’un des plus gros consommateurs d’antidépresseurs d’Europe. La recherche en la matière vient de faire un bon en avant grâce au lien avéré entre dépression et le petit roadster de Kawasaki. Le monde de la science peut être fier de sa trouvaille. Après avoir travaillé pendant des années sur la dépression, il est désormais prouvé que la seule raison valable à cette maladie se trouvait dans le garage des patients. Comme l’explique le docteur Kawalow : « Ce sont les similitudes d’interaction que les gens entretiennent entre leur vie et leur deux-roues qui nous ont permis de faire le lien entre ces deux éléments. Dans les deux cas, ils font ça pour être comme tout le monde, sans vraiment savoir pourquoi. Ils n’éprouvent aucune sensation particulière dans chacun des deux éléments. On pourrait leur enlever l’un ou l’autre, ils ne s’en rendraient pas compte. » Une constatation qui saute aux yeux. Qui n’a jamais était frappé par le vide dans le regard des propriétaires de Z 750 ? La réaction de Kawasaki ne s’est pas faite attendre. Et force est de constater que la firme nippone assume pleinement sa responsabilité : « Nous nous excusons auprès de nos clients. Dès la semaine prochaine, une campagne de rappel de nos Z 750 nous permettra d’apporter notre soutien aux malades, au travers d’une cellule psychologique. Nous sommes abasourdi par cette révélation et par mesure de précaution, nous enverrons un carton d’antidépresseurs aux possesseurs d’ER6-N, qui pourraient eux aussi être touchés par le caractère insipide de ce modèle. » Source Mdr... ^^ Citer
khiouz Posté(e) le 20 février 2014 Posté(e) le 20 février 2014 Pas mal! Mais pour moi ça serait plutôt "les français sans moto sont ceux qui dépriment le plus". La moto, machine à filer la banane à tout humain! Citer
Adventre Posté(e) le 20 février 2014 Auteur Posté(e) le 20 février 2014 Pas mal! Mais pour moi ça serait plutôt "les français sans moto sont ceux qui dépriment le plus". La moto, machine à filer la banane à tout humain! Je t avoue que ces temps ci je suis en attentes d une reponse pour un boulot, bah meme la moto me vide plus la tete tellement j en peux plus d attendre ! Jcrois que pour me vider la tete il me faudrait une sortie dragster lol Citer
Adventre Posté(e) le 20 février 2014 Auteur Posté(e) le 20 février 2014 ou un bon aspirateur ? Sans sac l aspirateur ! Citer
Le prof Posté(e) le 20 février 2014 Posté(e) le 20 février 2014 Je vois que nous avons les mêmes lecture Adventre. Ce gars est un fou. J'ai bien aimé le concours Randy de Puniet. Organisé à l’initiative d’un magazine britannique, un jeu-concours dont le premier prix est un tour de circuit derrière le pilote français n’a, à ce jour, recueilli aucune participation. Une surprise pour les rédacteurs du mensuel et une aubaine pour les plus courageux. Difficile de ne pas lire l’étonnement sur le visage des organisateur du concours : « Nous étions persuadés que l’opération allée fonctionner lorsque nous l’avons lancé. Les lots nous semblaient attrayants : une paire de gants pour le troisième, une combinaison pour le second et un tour du circuit de Donington derrière Randy de Puniet pour le vainqueur. » Si les promoteurs ont d’abord cru que les questions étaient trop difficiles, ils se sont rapidement aperçus que le problème venait d’ailleurs : « De nombreux mails nous sont parvenus une fois que nous avons lancé le concours. Certains pensaient que ce n’était qu’une blague, d’autres nous ont insulté, clamant que nous étions inconscients de faire prendre de tels risques à nos lecteurs. C’est alors que nous avons réalisé que le problème venait du danger que représente, aux yeux du public, un tour de circuit sur la même moto que Randy. » Malheureusement, il semblerait que personne n’aie l’audace de tenter de gagner le premier prix : « Devant cet échec, nous avons contacté des cascadeurs professionnels, mais personne ne nous a répondu. Le dossier de Puniet est apparemment tabou dans la profession. Personne n’ose se frotter à lui. » Une situation qui semble être sans issue : « Il est hors de question de payer quelqu’un pour monter derrière lui. En cas de chute, on pourrait être tenus pour responsables. Nous avons donc communiquer sur le fait que sa compagne sera présente le jour de la remise du prix, mais ce n’est pas suffisant. Si nous ne trouvons personne, nous offrirons le prix à quelqu’un de la rédaction. Une personne peu importante, un stagiaire par exemple. » De quoi s'en payer une bonne tranche ! http://motodesinfo.fr/ Citer
Adventre Posté(e) le 20 février 2014 Auteur Posté(e) le 20 février 2014 C est tellement méchant ^^ j adore Par contre je ne sais pas si tu as déjà lu les commentaires après les articles. Ceux qui prennent ça au premier degré sont magiques Citer
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