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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 10/10/2018 dans toutes les zones

  1. https://le-tetard.github.io/roadtrip/alps-un-motard-dans-la-ville.html Jour deux
    2 points
  2. Les photos. https://photos.app.goo.gl/F14sBVNLPopsb3Mk9
    1 point
  3. Allez, c'est parti pour le pavé. Désolé pour le manque d'images, se référer au premier post pour en trouver quelques unes. Samedi, 7h30 le réveil sonne pour moi. D'habitude je suis déjà réveillé depuis une bonne heure mais là, la crémaillère de la veille m'en a empêché, même si je l'ai abrégée. Pour une fois que je dormais bien... Il faut qu'en moins d'une heure je trouve, de quoi m'habiller, faire mon sac, déjeuner, faire la pression des pneus et le plein de la moto. Challenge. Ça pique les yeux la lumière dès le matin sans échauffement quand même… mais je parviens à remplir la mission dans les temps. J'arrive d'ailleurs au point de rendez-vous sous les applaudissement (bah oui, 8h45 je suis encore à l'heure, j'avais marqué départ 9h, horloge suisse). Il ne manquera finalement que Will et malheureusement Alain au départ. Il faut ensuite motiver les troupes pour un premier départ. Comme beaucoup de monde m'a répondu pour se porter volontaire pour l'ouverture d'un groupe, j'en improvise un : @melman34. Téléchargement express de OsmAnd et des cartes nécessaires au fonctionnement ainsi que du road du jour 1 depuis ici même (heureusement que j'étais organisé à la base) et départ avec quelques 20 minutes de retard (l'horlogerie suisse, c'est plus ce que c'était). C'était pas prévu mais on est resté dans les temps tout le long de la journée ensuite. Bref, sur cette matinée, Yvan a suivi le road, semble-t-il avec application. Moi, pas. J'ai loupé l'intersection à la sortie d'Uzès pour rejoindre Saint-Quentin-La-Poterie mais je sais qu'un peu plus loin je peux rattraper de nouveau. Finalement, j'ai bien fait de louper l'intersection. La route, bien que gravillonneuse à souhait, est plutôt agréable. Si tant est que tu aies un trail aux suspension plutôt permissives (un Tiger XC par exemple). Je fini par rattraper Pont-Saint-Esprit pour la première pause. Ma connaissance des lieux nous permet d'éviter la cohue du marché. Yvan, connaissant moins et suivant le road (pas le choix hein) s'arrête au plus tôt au milieu du marché (oui parce que la fontaine en fait, c'est à peu près le milieu ) pourtant le point marqué "[KFE] Pont-Saint-Esprit" était au bon endroit ^^ Nous repartons chacun de notre côté avec notre groupe (dans la même direction quand même, faut pas déconner), on se reverra à midi (spoiler : en fait, non). La suite est plutôt rectiligne jusqu'un peu avant Nyons. Quelques petits tours de ronds points pour éviter la ville, on perd personne, Alain n'est malheureusement pas là. Nous profitons des looonnngs virages à 80km/h qui suivent la rivière de L'Eygues. Je retrouve encore des sensations perdues, c'est plutôt bien ça ! Mais du coup il n'y a rapidement plus personne derrière moi ! Enfin bon, il faut maintenant remonter vers Remuzat pour le pic nic. Je sais que 5km plus loin, un point d'eau nous attend avec de quoi se garer, de quoi s'assoir et tutti quanti. Sauf que j'ai posé le point gps du pic nic à Remuzat. Et que cette fois-ci, malgré les explications orales (rapide, j'en conviens), Yvan choisi de suivre pile le road et de s'arrêter pile à mon point "[MIAM] Remuzat". Ils ont eu le café, nous avons eu la vue. On se rattrapera pour le café à Die. Après cette pause méritée d'une petite heure, nous reprenons la route direction Saint-Nazaire-le-Désert. Personne ne le sait encore mais le plus difficile est à venir. On trace donc sur cette route jusqu'à Die. Le paysage a marqué beaucoup de rétines. J'ai eu peur de perdre du monde dans deux épingles à cause de la règle "si on t'attend pas, c'est que c'est tout droit". Il faudrait la modifier cette règle en "si on t'attend pas, c'est que c'est la même route". Voire "regarde dans tes rétros, si tu vois personne à un endroit potentiellement trompeur, attend le suivant". J'ai eu de la chance. Je disais donc : plein de petits virages (il m'en aura fallu deux pour ne plus avoir Jean-Marc dans le rétro d'ailleurs) , quelques morceaux un peu plus technique pour cause d'adhérence incertaine, des sapins sur les bords, des moucherons en paquets, etc. Arrivés à Die, plein d'essence et re-pause détente. Certains se sont accordé l'aller-retour au col de Rousset, qui rallonge d'une heure le trajet. Je connaissais la suite du road noraml, j'ai fait l'impasse : j'ai un groupe à amener à destination en un seul morceau et je sais que juste avec ce qui arrive, la fin va m'être aussi un peu difficile. (le sport quand tu nous manques…) Pas grand chose jusqu'à Glandage, dont le nom a fait sourire, puis le col de Grimone. Alors là. ALORS LÀ ! On a suivi la pluie. Ça n'a pas empêché d'apprécier grandement la route ! Quelques épingles, quelques voitures, quelques cailloux, j'espère de nouveau ne pas perdre du monde sur une épingle et quelques villages traversés (tu te rappelles, la phrase à propos des rétros ? C'est source de stress chez les derniers et si tu étais derniers, je suis sûr que tu aimerais bien qu'on ne te laisse pas loin derrière sans indication du chemin à suivre). Arrivé au col, on attend de reformer le groupe et on redescend puis un peu de ligne droite. Jusqu'à bifurquer sur la D994B, D48 et D21, que je n'avais pas testé et qui proposent une vue… Pfiou ! On s'est même pas arrêter pour la photo tu vois ! Pour te rassurer, on avait le soleil pile dans les yeux : bonjour le contre jour ! Par contre, ceux qui ont fait le crochet par le col de Rousset ont eu le couché de soleil à ce qu'il paraît. Dernière ligne droite, on croise les gendarmes en contrôle (mais pas de vitesse) puis l'arrivée à Orpierre et 7km plus loin l'hôtel. Accueil superbe, emplacement pour garer les motos à l'abri de la pluie (pour peu que tu ne sois pas trop sur le bord ou sous le trou dans le toit). Alain fini par nous rejoindre. Suivi de Will avec sa nouvelle moto récupérée de ce matin. Même si le road a été différent, ils ont également pu se régaler autant que faire c'eut put visiblement. Repas génial, bonne bière (je viens de me rendre compte que j'ai oublié de leur prendre une bouteille), bonne ambiance. Couchés relativement tôt : avec Yvan, on va ouvrir un club du troisième âge, bientôt ! La suite demain ! Ou plus tard… Bientôt quoi. Toujours agaçant de ne pas pouvoir retranscrire ce qu'on vit. J'ai toujours l'impression qu'il en manque. Et si j'en rajoute, ça donne un truc interminable et chiant à lire dont je suis le seul à pouvoir comprendre tout le sens. M'enfin, si tu captes l'essentiel, il paraît que c'est déjà bien !
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  4. bon,alors,une grosse caisse,une caisse claire,une charlé....il est énérvant......
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  5. Hello, les photos sont dans "résumés et images des balades"
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  6. 70 = 60+10 80 = 4 x 20 90 = 4 x 20 + 10 198 = 100 + (4 x 20) + 10 + 8 90000 = ((4 x 20) + 10) x 1000 ??? D'où peut donc venir cette façon si particulière qu'ont les Français de compter ? Même nos si décriés voisins belges ont fait preuve de plus de logique sur ce point ! Et bien, avant les Francs et les Romains ne nous passent dessus, eux qui comptaient en base 10 ; nous comptions à la manière des Celtes en base 20. Après des milliers d'années d'évolution, seul perdure vraiment le 80 et l'absence de 70 et 90. Nous pourrions aisément imager un deux-vingt (40) et un trois-vingt (60) ; puis bien entendu le trois-vingt-et-dix (70)... Nous trouvons d'ailleurs à Paris l'hôpital des Quinze-Vingts, qui à sa création, comptait 300 lits. Désolé de vous avoir imposé cette culture inutile.
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Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
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